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03/06/2012

PARUTION

Après "ANGIOMES" & "ENGELURES", vient le tour de "ENGEANCES".

Au sommaire, quelques matinales, quelques femmes, de nombreux poèmes matérialistes (ou tentatives de) consacrés à l’écriture & à la lecture, un sandwich « hors de prix », des chantiers et des anges. C’est suffisant, non ?

Un extrait.

Un autre extrait.

On en parle ICI & LAlà encore . Sans oublier , , , et (pour finir ?).

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"ENGEANCE", éditions La Passe du Vent, 92 p.,

ISBN 978 2 84562 191 6

Comment vous le procurer ? Vous pouvez essayer de le trouver chez votre libraire préféré (bon courage).

Solution plus SÛRE : le commander (10 € + 3 € de frais d'envoi = 13 €) à F.Houdaer 105 rue Hénon 69004 Lyon. Précisez bien le titre du livre demandé.

 

"Frédérick Houdaer vient du roman, et plus précisément du roman noir, avant de mettre un pied dans la poésie. Il porte un regard simple et réaliste sur de petites situations du réel, loin des effets de langue. Il pose des personnages en quelques mots, les fait bouger sous nos yeux, dévoile ou souligne en quelques lignes un fragment du réel. Le théâtre n’est jamais loin."

Patrick Dubost  

 

12/03/2012

Ce dimanche...

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Pour ma part, j'y lirai des extraits de "ENGEANCES", mon nouveau recueil aux éditions La Passe du Vent...

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... ainsi que de "LES DERNIERS SERONT LES DERNIERS" de Thomas Vinau, le premier titre de la collection de poésie dont je m'occupe au éditions Le Pédalo Ivre.

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Plus de précisions sur ces deux livres (où, quand, comment se les procurer en dehors du Cabaret Poétique) tout bientôt...

11/06/2011

Un recueil qui vous veut (fait) du bien

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Enfin ! Loin de mes romans, jaillit "ENGELURES". Ma récidive poétique après "Angiomes" !

Publié par les éditions Oniva. Petit tirage, forcément. Tant mieux. Un collector recommandé par certains mais pas à tous. C'est rien que pour les initiés qui, s'ils veulent le découvrir, doivent :

a) avoir lu tout Brautigan

b) avoir lu tout Fante pour oublier Brautigan

c) avoir lu tout Cendrars pour oublier Fante

etc.

y) oublier les lignes précédentes

z) envoyer un chèque de 12 € (10€ le bouquin + 2 € de frais de port) à l'ordre de F.Houdaer (adresse : 105 rue Hénon 69004 Lyon). Précisez bien le titre du livre demandé.

Que dire d'ENGELURES, sinon que j'y délivre 69 portraits de femmes… 69 poèmes dé(sen)chaînés, (dés)enchantés, (dés)envoûtés... et sans parenthèse. Ni point de suspension.

Quelques échantillons représentatifs de ce recueil… distillés par Eric DejaegerHélène Dassavray et Katia Jaeger (ou par mes soins). Et les avis d'Etienne Faye, du Dj Duclock et de Sébastien Fritsch.

Vous voilà prévenu !

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03/06/2007

Bio-bibliographie

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 Le 25 juillet 1969, le film « La Horde sauvage » sort sur les écrans, et je sors du ventre de ma mère (Paris 12e, Clinique des Diaconesses).

Aujourd’hui, j’habite en haut d'une colline lyonnaise (la Croix-Rousse). Treize livres publiés à ce jour (six romans, six recueils de poèmes). Plus d'une centaine de textes (nouvelles, poèmes) publiés dans diverses revues françaises, belges et québécoises (de "Newsbourse" à "P.L.S, revue internationale de poésie de la Sorbonne"!). Début 2001, une dizaine de mes textes est retenue pour l'anthologie "Les Nouveaux Poètes français" publiée aux éditions Les Lettres du Temps - Jean-Pierre Huguet.

Je lis, relis, relie Selby, Jim Thompson, Melville (Herman et Jean-Pierre!), Fante, Calaferte, Djian, Ramuz, Céline, Cendrars, Brautigan, Miller (Henry), Michaux, etc. Les auteurs vivants ? Vous en trouverez dans la colonne de liens qui se trouve sur la gauche de ce blog.

 

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J’ai exercé de nombreux petits métiers (trieur de verre, vendeur au porte-à-porte, agent d'accueil au Foyer Notre-Dame des Sans Abri, veilleur de nuit, critique littéraire).

Animateur d'ateliers d'écriture depuis une douzaine d'années. 

En 2002, résidence d’auteur à Montréal grâce à l’Arald.

Bourse du C.N.L en 2003 (pour la bibliographie, voir plus bas).

De 2008 à 2011, j'ai dirigé la collection "A charge" aux éditions "A plus d'un titre". LA VITRINE.

Depuis fin 2011, je m'occupe de la collection "Poésie" des éditions "Le Pédalo Ivre".

Depuis 2010, j'anime un Cabaret Poétique (presque) mensuel au Périscope, salle de jazz sise à Lyon, entre gare et prisons désaffectées.

Un portrait signé François-Xavier Farine.

Ici, je réponds (vite, très vite) à un questionnaire.

ICI, Ludovic Maubreuil dit tout ce qu'il y a à dire de ma production poétique.

ICI, un entretien avec Fabienne Swiatly sur remue.net consacré à mon activité d'éditeur.

Une vidéo. Une autre vidéo (plus ancienne, garantie 100% M6).

 

Publications:

"L'IDIOT N°2", Editions Serpent à Plumes, roman (1999)
 
"LA GRANDE EROSION", Editions La Passe du Vent, roman (2000)
 
"JE VIENDRAI COMME UN VOLEUR", Editions Vauvenargues, collection Faits Divers, roman (2001)
 
"ILS VEILLENT", Editions Vauvenargues, collection Faits Divers, roman (2002)
 
"ANGIOMES", Editions La Passe du Vent, poèmes (2005)
 
"ANKOU, LEVE-TOI", aux éditions Terre de Brume, collection Polars & Grimoire, roman (2008, rééd. en 2011)
 
"ENGELURES", éditions Oniva, poèmes (2010)
 
"ENGEANCES", éditions La Passe du vent, poèmes (2012)
 
"FIRE NOTICE", éditions Le Pont du Change, poèmes (2013)
 
"NO PARKING NO BUSINESS", éditions Gros Textes, poèmes (mars 2014)
 
 
 
"ARMAGUEDON STRIP", éditions Le Dilettante (janvier 2018)

Pour ME CONTACTER

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Quelques unes de mes citations favorites :
 
" Putain, putain, c'est vachement bien, nous sommes quand même tous des Européens ! "
Arno

" Il n'y a que deux manières d'écrire : la première, en se passant d'autorisation, la seconde, en demandant une autorisation. "
Ossip Mandelstam

" L'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art. " Robert Filliou

" J'appelle caractère d'un homme sa manière habituelle d'aller à la chasse du bonheur. " Stendhal

 

02/06/2000

LA GRANDE EROSION

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LA GRANDE ÉROSION (black sotie) Au commencement était un nouveau club des cinq. Vincent, Juan, Héraclès, Le Maestro et Caféine. Ils tenaient entre leurs mains de nombreux pouvoirs, au sein de la ville de Charmy. Et voilà qu'ils perdent tout... Éditions La Passe du Vent,

17,53 euros, ISBN 2-84562-011X

 

 

Ce qu'en pense la presse :

LA GRANDE ÉROSION (black sotie)            

« N’était ce ro au lieu de va, le titre ne manque pas d’évoquer illico le film où les acolytes de Mc Queen, Bronson & co tentent par tous les moyens de trouver une issue aux camps de la mort. Le deuxième roman de Frédérick Houdaer n’en est d’ailleurs pas si éloigné puisqu’il retrace, depuis la pas-si-tranquille-que-ça bourgade de Charmy, le parcours d’une sorte de Club des Cinq –version bibliothèque noire – qui, de faiseur de cité, va peu à peu s’entortiller dans ses manigances, ses relations, et finalement se trouver contraint à l’exode, loin des repères favorisant l’exercice de ses pouvoirs habituels. À savoir : Vincent tient le bar branché de la ville ; les truands, tel Juan l’homme de main, et les artistes, tel Caféine le scribouilleur, y fricotent allègrement, gérant leurs affaires à même le zinc, à la barbe des journalistes qui pour seuls scoops récupèrent les résidus de la mise en scène ; à l’entrée, le videur Héraclès, un doux colosse overbuildé qui adore la déesse Athéna ; en face du bar enfin, le théâtre, temple du Maestro, flamboyant metteur en scène qui se joue de l’actualité et possède un bras long jusqu’au maire. Au milieu des Cinq, dans le rôle de la semeuse de zizanie, la belle Agnès, une comédienne aussi volage qu’indiscrète, qui entraîne l’irruption d’un gourou. « L’agente trouble » disparaît et les cinq virent paranos. Ils se mettent en quête du charlatan, direction un ashram breton. Mais de la quête à la cavale, il n’y a qu’un pas, celui d’une grande illusion qui avait besoin de sortir de son microcosme pour se déclarer… « Black sotie », c’est à dire farce noire -un genre d’humour sorti tout droit d’un effet de Manche-, la Grande Erosion est une jolie miniature de quartier qui joue des codes du polar comme du vaudeville. Houdaer esquisse une tectonique de dépendances relationnelles typiques, une glissade en pente douce qui conduit inéluctablement ses personnages vers leur destination. De là le recul scénographique, l’effet de manipulation qui fait d’eux des pantins, si risibles, si humains. »

 

            Marc Jéru, LIVRE ET LIRE, juin 2000